2014 Compte-rendu de la visite du CA de la FIMEM au Benin EN Janvier

Enviado por François Perdrial el Vie, 21/03/2014 - 16:41
 RAPPORT AU CA DE LA FIMEM : VOYAGE au BENIN 19 JANVIER-30 JANVIER 2014
 
 
  1. ETATS DE ROUTES ET DES COMMUNICATIONS
 
Distance Cotonou-Lokossa 120 km ( 2:30 h. à peu-près; route en chantier sur certains tronçons, il faut procéder très lentement pour éviter les trous, mais on assure que dès l’année prochaine ça sera reglé; une partie n’est pas asphaltée. Conditions du trafic à Cotonou: très lent, beaucoup d’arrêts, temps d’attente le matin, à midi et le soir avec des milliers de motos qui sortent ou qui rentrent.
( Cotonou = ‘la lagune des morts’, mémoire de l’esclavage).

Mario Lodi

Enviado por Juan Fernandez el Sáb, 08/03/2014 - 11:57

Una de las cosas que me impresionaron, que me entusiasmaron, cuando por primera vez oí hablar de Freinet fue su conciencia política aplicada a la escuela, Mario Lodi profundizó en ello, nos hizo “catarlo” con una lucidez y una humildad que nos dan mil argumentos, infinitas reservas de ilusión y fuerza para seguir luchando, gracias Mario Lodi, gracias M.C.E.

Juan Fernández Platero por el Movimiento Cooperativo de Escuela Popular.

La participation démocratique des enfants dans les institutions éducatives

Enviado por Claude Beaunis el Vie, 07/03/2014 - 10:04

Dès le début du 20e siècle, des éducateurs de l’Ecole nouvelle et de l’Ecole socialiste avaient créé des communautés dans lesquelles les enfants pouvaient exercer des droits et des libertés, donner leur avis sur l’organisation de la vie sociale, sur les activités et sur les apprentissages et participer aux décisions avec les adultes.

En 1920, Freinet, jeune instituteur meurtri par la guerre physiquement et psychologiquement, s'engage dans la même voie éducative et politique. Il affirme sa volonté de construire une école populaire coopérative dans laquelle les enfants du peuple pourront acquérir les savoirs qui les rendront plus libres, plus autonomes, plus conscients des luttes à mener pour une société de justice sociale et de liberté.

Son engagement social, syndical et politique indique clairement que pour lui la lutte doit être menée sur deux fronts : dans et hors de l’école.

De l’autogestion, hier, à la démocratie participative, aujourd’hui, notre lutte continue.

Jean le Gal