Les études du « Jugendwerk der deutschen Shell » nous montrent qu’il n’y a pas une jeunesse apolitique, la jeunesse a des difficultés avec la politique. Mais ce qui compte le plus, c’est la méfiance lassitude de la politique envers les jeunes. Les jeunes demandent de la cogestion et d’utiliser leurs propres compétences. En milieu scolaire, ils demandent plus de travaux en groupe, plus de projets, plus de recherches à mener par eux-mêmes, plus de débats en classe, plus de cogestion concernant le plan de travail et des rapports de confiance avec le personnel enseignant. Ces méthodes pédagogiques nommées par les jeunes gens font progresser l’apprentissage de la coopération et de la démocratie.