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Soumis par Claude Beaunis le 24/07/16 – 10:37
ATELIER « RECONNAITRE ET RESPECTER L'IDENTITÉ MENTALE PÉDAGOGIQUE DES ÉLÈVES POUR LE DROIT À L'ÉDUCATION POUR TOUS ET POUR CHACUN.
(Ermanno Tarrachini)-Atelier du mercredi 20/07/2016
LES GESTES MENTAUX (GM) :
Les Cartes Mentales
E. nous demande dans un premier temps d'exprimer diverses informations qu'Ermanno reporte sur une carte mentale affichée au tableau (thème central : CM/atelier)-voir photo
Sur chaque branche, E. reporte dans l'ordre :
le nom du participant-son lieu d'exercice-le niveau d'enseignement-un mot-clé pour caractériser sa pratique personnelle, les principaux problèmes rencontrés dans sa classe.(Exemples : motivation, compréhension, vocabulaire, effectif de la classe, etc.)
Intérêt : outil qui permet d'ajouter au fur et à mesure les informations d'une façon logique, ainsi qu'une meilleure mémorisation et compréhension, en passant par divers canaux ou modalités : les yeux (visuel-spatialité), oral (ouïe-temporalité), puis rédaction linéaire (texte )par l'élève à partir de sa carte mentale.
Les élèves doivent la construire eux-mêmes, individuellement, mais c'est l'enseignant qui en initie la pratique, avec des exemples(intervention d'Angèle).
E.parle de l'élève qui dit « JE SUIS », mais qui n'est pas Là (espace), ni Maintenant (Temps). Aurélia parle de'élève qui reste à l'intérieur de lui-même.
 
Mise en situation des participants
Dans un second temps, E. invite chacun des participants à élaborer une carte mentale à partir d'une problématique qu'il choisit librement, mais liée à sa pratique de classe.(distribution d'une feuille vierge).
Ensuite, quelques participants viennent présenter leur carte mentale à l'ensemble du groupe qui réagit, demande des clarifications, et que commente Ermanno  dans  l'optique du thème de l'atelier.
 
Concernant la possibilité émise par l'un des participants d'utiliser cette CM individuelle comme outil de transmission pour les enseignants lors du passage à la classe supérieure, Valentine souligne que cela peut être réducteur, l'apprenant n'étant pas « figé ».
 
Ader souligne la difficulté d'utiliser cet outil de façon individuelle au vu des effectifs souvent pléthoriques en Afrique (jusqu'à 192 pour l'un des participants!). E. propose une solution possible : faire des groupe selon les modalités de représentation (visuelle, auditive, kinesthésiques, etc.).